Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
7h00, le réveil n'avait pas encore sonné et déjà une sonnerie insistante retentissait lui demandant de se lever, après quelques interrogations sur son origine, elle prit alors conscience que l'appel venait de la porte d'entrée ; qui pouvait donc la réveiller à une heure aussi matinale ? Un coup d'œil dans le Juda de la porte pour découvrir un livreur : « colis pour vous mademoiselle, merci de signer ici ».
La porte à peine fermée, elle arracha l'emballage du carton pour découvrir dessus un petit « pour toi, tes désirs sont mes ordres ... ».
Le carton ouvert, elle découvrit un collier inhabituel, un téléphone portable, une jupe, une paire de boules reliées entre elle, un string dont l'avant était étrange, un soutien gorge à balconnets et enfin un étrange boitier muni de différents connecteurs et câbles.
L'ensemble était étalé sur le lit, rien n'expliquait les câbles et l'étrange boitier, peut être la réponse serait elle dans le téléphone ? A peine allumé, un texto apparu : « prends une douche et habille toi ».
Etrange, rien n'avait laissé présager une telle situation, aucune lettre échangée dans ce sens. Une fois séchée, elle enfila le string pour découvrir que l'avant s'insinuait sur son clito, comme s'il était prisonnier. Le soutien gorge parfaitement à sa taille, un 90C, était sage mais avait tendance à resserrer ses seins. Après quelques manipulation avec le collier, la large bande de cuir fin prit place autour du cou, restaient deux fines chaînettes terminées par un anneau ?
« Là je ne vois pas ». A peine pensé, le téléphone sonna et un nouveau texto apparu : « enserre tes pointes des seins par les anneaux coulissants du collier ». « Ahh ...» 'elle' sortit alors le premier sein du bonnet, entre deux doigts et fit coulisser l'anneau sur la base de son premier téton, puis ce fut au tour de l'autre.
Devant le miroir elle se sentait excitée par cette nouvelle tenue, le collier lui allait à merveille, les deux chaînettes qui y étaient reliées étaient juste tendues par les pointes de seins prisonnières des balconnets. Son sexe épilé commençait déjà à s'humidifier sous la pression du piège équipant le string. La jupe en lycra était trop étroite et descendait jusqu'aux dessus des genoux, quelques pas lui indiquaient alors que seules des talons hauts pouvaient lui permettre de marcher correctement, ce qu'elle chaussa.
Le téléphone sonna une troisième fois, un nouveau texto apparu « raccorde tous les éléments ensembles sur le boîtier et le téléphone ». Une partie du message était compréhensible, le téléphone et le boîtier pouvaient être raccordés, oui mais pourquoi deux autres câbles ? Ces deniers étaient très fins et munis à leurs extrémités de connecteurs. Après avoir passé en revue son soutien gorge, ce dernier présentait lui aussi une connexion compatible, quant au string il en était de même. Tout devenait clair, soutien gorge et string se voyaient raccordés au boîtier lui même connecté au téléphone.
Intriguée et curieuse à la fois de cette étrange surprise, elle accrocha le téléphone à la ceinture, enfila un chemisier à boutons ; malgré l'hiver doux elle jugea bon de porter un pull léger. 8h00, elle était prête, excitée d'aller travailler dans cette nouvelle tenue. A peine après avoir quitté son appartement,
Le téléphone sonna à nouveau et une lente décharge électrique lui traversa le corps, des pointes de seins jusqu'au clitoris déjà tout excité par les quelques pas étroits qu'imposait la jupe serrée et les talons hauts. Elle resta immobile comme tétanisée, une deuxième sonnerie déclencha une deuxième décharge qui lui fit comprendre qu'elle devait décrocher au risque de se voir envahir à nouveau par un plaisir qu'elle aurait du mal à dissimuler en public. Elle décrocha le téléphone :
« Allo ? »
Sa voix était hésitante, elle devinait qui était à l'origine de cette situation et le fait de savoir qu'il l'appelait la déstabilisait d'avantage.
« Comment te sens-tu ? »
« Surprise, je m'attendais pas à cela » lui dit-elle
« Toujours prête à me suivre comme je te l'ai proposé ? »
« Oh oui !! » répondit elle sans retenue
« Pardon ? »
Le ton devint plus ferme et plus fort, au même moment elle entendit un son différent dans le téléphone portable, une sensation de chaleur commençait à envahir sa poitrine, ses pointes de seins comprimées dans le balconnet venaient de subir une pression des anneaux ! Incroyable, cela expliquait la raison pour laquelle le soutien gorge était relié au téléphone. Il pouvait à distance lui pincer la pointe des seins et contrôler la pression des anneaux.
Elle se mordit les lèvres, mélange étrange d'excitation et de douleur. « Oui Maître » répondit elle à nouveau
« Je préfère ainsi, je te rappelle que ces 24 prochaines heures sont un test pour toi et moi, si tu le passes tu découvriras alors des plaisirs que tu ne soupçonnes même pas, dans le cas contraire je serai contraint de t'oublier »
« Oui Maître, je serai à la hauteur de vos attentes puisque je vous l'ai demandé ainsi »
« Parfait, va donc travailler maintenant »
La communication venait d'être coupée, la douleur sur ses pointes venait de s'estomper mais les anneaux étaient toujours aussi serrés. Elle était plantée là au milieu de la rue à quelques pas de son véhicule, deux décharges lui avait parcourus le sexe et les pointes de seins, son Maître contrôlait son corps à distance et la journée de faisait que commencer ...
A peine installée au volant de sa Cooper, les deux boules installées au fond de sa petite chatte venaient de lui rappeler leur présence. Machinalement, elle ne s'était pas posée de question, elles avaient la taille d'un œuf et quoique volumineux ils s'étaient fait oublié de part sa position debout lorsqu'elle les avait introduits juste après la douche, il n'en était plus rien une fois assise.
Elle essaya de trouver une position la plus confortable possible afin que les deux boulent ne fassent pas pression sur son clitoris déjà prisonnier par le piège fixé au string.
« Reprend tes esprits, il faut te concentrer, il y a de la circulation aujourd'hui, un peu de musique pour penser à autre chose » Elle alluma la radio et pris la direction de l'autoroute ...
8h30, elle n'était pas en retard, 15 minutes suffisaient pour rejoindre son bureau où elle était employée en tant que commerciale export dans une boite d'électronique. Malgré la musique ses pensées étaient très loin de son travail, son corps lui rappelait ce qu'elle venait de vivre en l'espace d'un quart d'heure, la pression des deux œufs sur son clito ne faisait qu'accentuer le désir, sa chatte devenait humide.
Au loin elle aperçu les warning des autres véhicules clignoter, signe d'un problème de trafic, tous les véhicules commencèrent alors à ralentir pour ne former qu'un seul et unique gros bouchon immobile, comme d'habitude la radio lui signala un peu trop tard ce problème de circulation.
« C'est malin, me voilà plantée dans les bouchons à 3 km du boulot et il ne me reste que 15 mn devant moi »
A peine eut elle terminé sa phrase que le téléphone sonna un bref instant signe d'un nouveau texto, elle leva son pull pour regarder l'écran : « serre les cuisses » Sans chercher à comprendre, elle les serra comprimant d'avantage les deux boules sur son clitoris prisonnier. Un nouveau son se fit entendre du téléphone, elle s'attendait à recevoir une nouvelle décharge mais rien ne se passa immédiatement ...
C'est alors qu'elle commença à sentir son sexe s'ouvrir d'avantage alors qu'elle maintenait les cuisses fermées, d'une façon progressive, les boules en elle venaient de vibrer, à peine perceptible au début mais là elle en était sure, elle les sentait d'avantage. Les deux objets propageaient une onde continue au travers de son sexe, « inouï comment fait il pour contrôler ces deux objets ? », les vibrations augmentaient toujours et, sans qu'elle n'ait le temps de comprendre, elle ressentit alors une forte décharge sur son petit bourgeon, la surprise de ce choc lui fit alors retourner la tête en arrière ce qui amena à tendre les deux chaînettes qui naturellement lui rappelèrent que ces pointes étaient elles aussi en otage.
Ce choc lui provoqua un effet instantané, elle était liquéfiée, le bouchon automobile avait été salvateur et si le trafic n'avait pas été interrompu, elle était certaine qu'elle aurait perdu le contrôle de son véhicule. Une immense bouffée de chaleur lui parcouru le corps, elle ouvrit la fenêtre pour découvrir dans un 4X4 bloqué à sa droite, un homme d'une quarantaine d'année qui n'avait rien perdu du spectacle.
Cette situation la rendait d'autant plus mal à l'aise, que les vibrations dans son sexe continuaient de progresser de façon lancinante, elle serrait les cuisses, les mains crispées sur le volant, ces deux œufs vivraient de plus en plus fort, elle se redressa, la pression sur son clitoris devenait insupportable, elle allait jouir, ses pointes de seins devenaient de plus en plus sensibles.
A cet instant, devant cette inconnu qui la regardait se contorsionner sur son siège, un bip retentit dans le téléphone, immédiatement elle ressentit une décharge sur son petit bouton qu'il lui déchira un orgasme qu'elle ne pu retenir au travers d'un cri de libération.
Elle venait de vivre son premier orgasme sous contrôle.
Elle retomba sur son siège, cuisses ouvertes, tétanisée par ce nouveau plaisir.
8h55 – La circulation venait de se fluidifier, le trafic reprenait son cours normal, encore sous le choc, les cuisses encore tremblantes, l'émotion laissée par les spasmes de l'orgasme était encore présente. Il lui fallait faire vite, même si l'ambiance générale de son entreprise était conciliante sur les horaires, elle ne supportait pas d'être en retard, la journée risquait d'être chargée après une semaine de vacances.
La pluie venait de tomber, 9h00 venait d'être annoncé.
Après avoir vérifié l'état de son maquillage dans le rétroviseur, elle sortit de sa Cooper pour se diriger vers l'entrée distante d'une centaine de mètres, tout en se protégeant de la pluie avec son petit cartable, les premiers pas de course avec sa jupe si étroite lui rappelèrent immédiatement la présence des deux boules en elle, plus elle trottinait, plus le frottement se faisait sentir, difficile dilemme entre ce plaisir et le fait d'être trempée par la pluie.
Elle stoppa net, trop inquiète d'éveiller les soupçons sur son état dès son arrivée. Elle arrivait donc trempée, la jupe en lycra lui moulait les fesses, quant au pull il n'était plus d'aucune utilité. La standardiste lui souhaita le bonjour accompagné des vœux coutumiers. Une seule idée en tête : se réfugier dans son bureau.
A peine installée derrière l'écran, l'humidité de ses vêtements lui rappela qu'il lui fallait remédier à ce problème au risque de prendre froid et de se retrouver clouée au lit le lendemain. Devant le miroir des toilettes, elle ôta son pull, le chemisier ne pouvait cacher ses seins pointes de seins attachées sous les balconnets qui lui comprimaient la poitrine. Gênée, à l'aide du chauffe mains, seule sa chevelure rousse arrivait à sécher. Une porte venait de s'ouvrir
« Bonjour Sandra, meilleurs vœux »
« Ah heuu bonjour Axelle, meilleurs vœux à toi aussi » dit elle confuse
« Tiens tu as acheté un nouveau portable avec des écouteurs, en voiture ce n'est pas trop dangereux ? »
Le pull avait démasqué le téléphone accroché à la ceinture et les différents câbles raccordés, elle venait de découvrir qu'elle avait complètement oubliés.
« Oh tu sais, je ne l'écoute que chez moi » lui répondit elle
« C'est un nouveau modèle, les connecteurs sont si petits » et tout lui en parlant, intriguée, sa collègue débrancha celui connecté au string.
Automatiquement, comme par réflexe, les anneaux entourant ses pointes de seins se resserrèrent d'un coup bref. Sandra ne put s'empêcher de crier de surprise et de douleur : « Ahhhahhhhahh !!!! »
« Que t'arrive t-il !!?? Je n'ai fait que débrancher tes écouteurs » demanda Axelle
Le téléphone émit un son et un texto apparu sur l'écran, « autoprotection activée ». Sandra rebrancha immédiatement le connecteur sur le mobile espérant arrêter immédiatement le supplice, il n'en était rien, l'écran affichait : « Temps restant – Autoprotection : 15 mn » et le compte à rebours venait de commencer.
« Je retourne au bureau Axelle, j'ai un travail monstre » répliqua t-elle
Tout en marchant lentement les cuisses serrées sous sa jupe étroite, les fesses moulées par le lycra encore humide, Sandra ne pouvait cacher ses pointes de seins douloureuses qui, maintenant, transperçaient son chemisier. Alors qu'elle ouvrait la porte de son bureau, elle découvrit son patron qui l'attendait :
« Booonne Année Sandra, tous mes vœux !!! » tout en l'enlaçant et en la serra très fort contre son torse « J'espère que vous ferez encore plus fort qu'en 2006 chère amie »
9h15 s'affichait sur l'horloge accrochée sur le mur.
« Oh vous avez un nouveau portable, je l'aurai pris en blanc, c'est dingue cette mode, la durée de vie de ces produits et de plus en plus courte. Au fait, avez vous lu vos mails ? » lui demanda Alex
« Pas encore Monsieur, je viens d'arriver, j'ai pris du retard suite au bouchon » dit elle gênée de voir ses pointes de seins saillantes et meurtries à travers son chemisier.
« Ce n'est pas grave, vous verrez que nous avons rendez vous à 9h30 avec MechTronic, suite aux prototypes envoyés il y a 6 mois, les échantillons les ont convaincu et ils sont très intéressés par l'offre de prix que vous leur avait communiquée »
« Bonne nouvelle Monsieur, c'est un gros contrat, je vais reprendre le dossier et je vous rejoins en salle de réunion »
Sandra sortit son nouveau Mac Book Pro de son petit cartable, sa société était entièrement équipé Apple© et toujours à la pointe de la technologie, ce qui en faisait sa renommée. Elle mit sous tension le portable, la connexion Wifi s'établit automatiquement au réseau de l'entreprise ; Safari© venait de lui indiquer 52 mails en attente de lecture.
« Pfff, pas le temps, il me faut reprendre ce dossier Mechtronic » se dit-elle, un coup d'œil à l'horloge, 9h23, « Ah le voilà, c'est bon, ok » elle relisait l'offre précédemment envoyée afin d'être parfaitement prête pour la réunion. Cet évènement lui avait presque oublié ces pointes de seins ligotés par les anneaux « Pourvu qu'ils soient en retard, c'est plus qu'indécent une telle poitrine, j'ai l'impression que je vais exploser »
Elle imprima le document et pris la direction de la salle de réunion, elle croisa quelques collègues dans le couloir qui, comme partout ailleurs, lui souhaitaient les éternels refrains de « bonne année, bonne santé ». « Tu parles, bonne année, bonne santé ! Elle commence bien cette bonne année et côté santé c'est pas mal non plus ».
Arrivée en salle de réunion, elle découvrit son patron en train de discuter avec l'homme du 4x4 accompagné d'une grande blonde copie conforme de Dorothy Doll.
« Ce n'est pas possible, ce ne peut être ce gars dans le bouchon qui m'a vu jouir tout à l'heure, je suis en plein cauchemar » pensa t-elle.
« Sandra, venez je vous présente Mr Janowsik et sa collaboratrice Mademoiselle Wasileski »
Peu fière et dans un état toujours aussi fébrile, Sandra serra la main de l'homme en face d'elle
« Enchanté mademoiselle mais j'ai l'impression de vous avoir déjà vu » lui dit il
Elle piqua un far, ses joues déjà roses d'émotion tournèrent immédiatement vers une couleur plus soutenue.
« Ah oui .. » répliqua confuse
Au moment de serrer la main de la jeune femme, son regard croisa l'horloge fixée au mur, 9h34 venait juste de s'afficher, le téléphone accroché à sa ceinture émit à nouveau un bip, l'écran s'alluma pour afficher : Autoprotection désactivée et au même instant les anneaux relâchèrent leur emprise.
Elle ne pu s'empêcher de lâcher un cri de soulagement, mélange de douleur lié à l'afflux de sa ng qui venait rejoindre ses mamelons libérés.
« Ahhahhhhahhh !!!! »
Intriguée et interloquée, tout en serrant sa main crispée, la blonde regardait Sandra :
« Vous allez bien Mademoiselle ? Je ne pensais pas serrer votre main aussi fort » lui dit-elle
« Non, Non, enfin, je voulais dire que .. que .. Je me suis fait mal au poignet ce matin » répondit-elle
« Et bien Natacha, je ne vous connaissais pas aussi forte du poignet » lança l'homme au 4x4
« Bien, installons-nous » indiqua Alex
La discussion commença alors, Sandra essayait de reprendre ses esprits afin de rester professionnelle pour défendre ce dossier important. Son regard croisait celui de la blonde qui l'observait dans les moindres détails et plus particulièrement sur ses seins encore tout congestionnés par l'épreuve subie. Dix minutes venaient de s'écouler, la conversation battait son plein et les échanges prenaient une direction optimiste pour les deux parties.
« J'oubliais les règles élémentaires » répliqua le directeur
« Café ? »
« Avec plaisir » répondit Wasileski
« Moi aussi .. » indiqua Natacha
« Sandra, je sais que ce n'est pas de votre responsabilité mais auriez vous l'amabilité de nous apporter 3 cafés, s'il vous plait et un de plus si vous le désirez » demanda Alex
« Pas de soucis, Monsieur » répondit elle en quittant la salle, frustrée d'être reléguée au rôle de serveuse mais soulagée de pouvoir lâcher un peu la pression qui depuis son réveil ce matin n'avait fait que grimper.
« Ah tu tombes bien Sandra, il y a un livreur pour toi, il m'a dit que c'était perso alors je l'ai fait patienter, tu dois signer un truc, il t'attend dans ton bureau. Pour le café, il n'y en a plus, j'en refais un frais, je t'appelle une fois fait » venait de lui indiquer la standardiste.
9h59 s'affichait sur l'horloge de l'entrée.
Arrivé dans son bureau, l'attendait un homme d'environ trente ans, beau gosse, le type de mâle que l'on effeuille dans certains calendriers. Sandra ne fut pas indifférente en regardant ces yeux verts « Ce n'est pas le moment de penser à des trucs pareils, je vais disjoncter si je ne me contrôle pas, moi » pensa t-elle.
« Vous avez un colis pour moi ? » lui dit-elle, en évitant son regard
« Oui, mademoiselle, le voici » Il lui tendait un carton emballé dans un papier noir mat « Veuillez signer ici mais vous avez quelque chose à me donner en échange »
Elle signa le PDA présenté « Mais je n'ai rien à vous donner !!» rétorqua t-elle.
« Je pense que vous avez un message à cette intention » lui répondit le rugbyman.
Elle s'installa derrière son portable, l'écran sorti alors du mode veille pour afficher immédiatement le logiciel de visio Ichat©, son visage apparu alors à l'écran. Une fenêtre apparu et un message en direct commençait à s'afficher lettre par lettre. Elle relut 10 fois le message dans son intégralité et ne pu s'empêcher de dire à voix haute :
« Mais je ne peux pas faire ça !! Pas ici !! »
Ses paroles venaient à peine d'être terminées, que les deux boules oubliées au fond de son sexe commencèrent à vibrer à nouveau.
« Mais c'est dingue, pas ici !! » murmura t-elle
Une décharge venait d'être envoyée sur son clitoris, le piège intégré à son string venait de reprendre sa proie. Elle s'affola sous la pression de son clito accompagnée des vibrations des deux sphères dont le niveau augmentait. Elle jeta un coup d'œil à l'horloge : 10h02
« Fermez la porte et venez me rejoindre !! » dit elle à l'homme debout derrière le bureau
« Ne dites pas un mot, ne faites pas un bruit, je dois le faire je n'ai pas le choix, je ne sais pas qui vous êtes mais je dois vous avouer que jamais je n'aurai imaginé faire cela ici, alors promettez moi d'être discret » lui dit elle en le regardant vers le haut.
« Oui mademoiselle, vous pouvez compter sur moi »
Elle releva sa jupe étroite en lycra et repris sa position assise sur le cuir du fauteuil, le contact de cette matière ajoutait un nouveau plaisir à ceux déjà en mouvement dans sa chatte.
Elle commença à caresser les cuisses et les fesses musclées de l'homme debout devant elle, ses mains firent le tour pour s'attarder sur le devant du jean plutôt moulant, les boutons de la braguette sautèrent un à un pour laisser tomber le jean au pied du mâle. Le boxer laisser deviner un membre qui ne la laisser pas indifférente, la fellation était son péché mignon, elle s'en était confessée lors de plusieurs courriers érotiques, le sexe en bouche l'excitait au plus haut point.
Des deux mains elle descendit le boxer qui rejoignait le jean aux chevilles pour laisser apparaitre un sexe épilé, ce qu'elle appréciait, le membre n'était pas encore en érection mais présentait déjà une taille plus que respectable. D'une main elle caressa les bourses dépourvu de poils, qui au contact, se rétractèrent l'autre, quant à elle, empoignait le manche qu'elle commençait à pistonner; un petit coup d'œil furtif vers son ordinateur portable vérifia que la scène était intégralement retransmise sur le logiciel de visio.
Du bout de la langue, elle titilla le bout du gland pour en faire le tour, les mouvements de va et vient du poignet accompagné de cette langue venait de faire leur effet, le sexe commençait à se tendre et se présentait désormais verticalement, Tout en continuant de caresser les deux testicules gonflées elle léchait maintenant de bas en haut ce sexe qui l'excitait de plus en plus.
L'homme ne bronchait pas, le piège sur le clito s'était relâché pour titiller le bouton lui aussi tendu de désir, les cuisses ouvertes et les vibrations des deux sphères combinées l'ouvrait d'avantage, le cuir du siège devenait de plus en plus humide, signe d'un plaisir croissant. Le membre positionné verticalement, sa bouche commençait à coulisser sur la tige, lentement puis progressivement elle se alors mis à augmenter la cadence pour le pistonner de plus en plus fort.
Elle adorait la fellation, sa seule frustration était de ne pas pouvoir l'engloutir intégralement, son amie intime lui avait conseillé de s'entraîner à l'aide d'un gode en latex afin de trouver l'astuce permettant de dépasser la barrière de la glotte, de gros progrès avait été accomplis mais aujourd'hui le phallus en bouche était réel et bien plus conséquent que le jouet utilisé.
De plus en plus loin, réfrénant sa crainte, elle s'agrippa aux deux fesses pour coulisser d'avantage sa bouche sur ce pieu pour arriver enfin à la coller sur la base, elle avait réussi, cette bite était maintenant prisonnière, elle ne bougeât pas, retenant sa respiration, fière de cet exploit qui laisser rêveur beaucoup d'hommes.
L'effet sur l'étalon avait été immédiat, il avait posé ses grandes mains sur sa nuque rousse pour l'accompagner dans ses mouvements, elle coulissait maintenant sur l'intégralité de la tige pour s'arrêter de temps en temps afin de mordiller la base du gland, son plaisir augmentait, elle le serrait plus fort entre les dents, synchronisée elle frottait son clito sur le fauteuil.
10h20 – Voilà vingt minutes qu'elle avait quitté la réunion, il lui fallait désormais conclure rapidement l'opération.
« Je n'ai plus le temps de m'amuser avec toi, il faut que tu jouisses de suite, tu comprends ? » lui dit elle en relevant la tête
« Oui, mademoiselle » répondit il
Elle prit alors le membre à pleine main pour le masturber plus vigoureusement, son clitoris allait exploser, l'effet désiré fut obtenu rapidement, elle le sentait se rétracter et les cuisses de l'athlète commençaient à vaciller.
« Je vais venir » murmura t-il
« Viens, moi aussi je vais venir » répondit elle
Elle coulissa ses lèvres sur ce pieu pour l'engloutir en entier, ce dernier explosa pour jaillir dans sa gorge, elle s'immobilisa afin de l'avaler, elle aussi venait de jouir mais ce bâillon lui avait empêché de pouvoir l'exprimer, un râle discret venait d'être exprimer par les deux amants, elle libéra lentement le membre désormais détendu pour terminer son œuvre par quelques coups de langue.
« Toc - Toc !!» La porte du bureau venait de s'ouvrir et Natacha venait de passer la tête
« Mademoiselle Sandra, pour le café ? Oups !!?! heuuu désolé, je heu.. reviendrais, nous vous, nous vous attendons en salle de réunion ... » venait d'indiquer la grande blonde stupéfiée par la scène entrevue.
Elle releva la tête « Mais tu n'as pas fermé la porte à clef !?! » Elle hallucinait, sa première viso fellation intégrale venait d'être découverte pas cette nouvelle inconnue.
« Allez file, dégage » cria t-elle
L'homme disparu sans un mot
10h25 venait de tomber
Les cafés étaient disposés sur un plateau, Sandra entra dans la salle de réunion, s'excusant de son absence en prétextant la lenteur de la cafetière. Elle avait préalablement repris ses lèvres au crayon, le sexe du rugbyman devait d'ailleurs en porter les couleurs. Elle avança les cafés aux invités, présenta le sucre, Natacha la regardait d'un air maintenant malicieux, ses yeux brillaient.
« Vous n'auriez pas de crème ? » demanda t-elle ; un clin d'œil se dessinait
Sandra, vexée de la maladresse du livreur, avait repris de l'assurance, elle regardait droit dans les yeux la grande blonde qui profitait de la situation.
« Il doit en rester » répondit-elle
« Ne vous inquiétez pas, je l'aime aussi sans, même s'il est moins savoureux » rétorqua Natacha.
Les deux hommes discutaient business, les deux femmes s'observaient, les yeux scannaient chaque détail en passant en revue le moindre indice permettant de révéler quelque chose.
« Que faites vous chez Mechtronic Natacha ? » demanda poliment la rousse
« Bien, disons que je teste les produits, j'en contrôle la qualité pourrait on dire » répondit la blonde.
Les hommes venaient de serrer la main, signe d'un accord conclu entre les deux parties.
« Voilà Mesdemoiselles nous venons, avec Mr Wasileski, de conclure un accord pour une production exclusive de nos produits testés, et ce sur un volume d'un million d'unité pour cette année ! » Clama le patron réjouis de la situation.
« Mr Wasileski, venez dans mon bureau signer les différents documents afin d'officialiser cette affaire, quant à vous mesdemoiselles, je pense que vous avez quelques points produits à voir, je vous laisse le soin de régler ces détails entre vous »
Les deux hommes quittèrent la pièce pour laisser les deux femmes face à face ; leurs regards se défiaient. Sandra entama le dialogue :
« Vous savez Natacha, pour tout à l'heure je .. »
« Chère amie j'admirais vos talents depuis déjà cinq bonnes minutes mais vous étiez trop occupée pour vous en rendre compte, j'ai tapé à la porte lorsque j'ai vu votre hôte libéré, félicitation vous m'avez réellement impressionnée, j'en ressens encore d'ailleurs quelques frissons » lui indiqua la grande blonde en lui coupant la parole.
« Oui mais » répliqua Sandra
« Oui mais quoi ? Vous avez bu la liqueur du plaisir et je ne suis pas une femme, comment dit on, fermée oui c'est ça fermée, bien au contraire ... alors inutile de vous justifier chère Sandra » répliqua la blonde.
Piégée par les différents objets sous contrôle qu'elle portait, elle l'était maintenant de cette 'collaboratrice' qui se jouait de la situation.
« Mais dites moi, êtes vous aussi habile de votre langue quelque soit le sexe présenté ? » demanda Natacha d'un ton pervers, tout en relevant sa mini jupe qui découvrait ses longues cuisses.
« Vous ne pensez quand même pas que .. » balbutia Sandra
« Que vous allez me donner autant de plaisir qu'au jeune homme de tout à l'heure, mais j'espère d'avantage » répondit la blonde en glissant son index entre les petites lèvres de son sexe épilé.
Natacha se leva, la jupe roulée à la taille et se pencha sur sa proie pour lui glisser à l'oreille :
« Sauf si vous préférez en discuter à votre patron qui sera, je pense, avide de détails croustillants »
La blonde déposa un baiser dans le cou de sa victime, lui lécha l'oreille, sa bouche effleura celle de Sandra qui n'osait répondre ou bouger, la langue ouvra ces lèvres entre ouvertes pour les ouvrir et l'embrasser fougueusement.
« Mais je ... n'ai jamais »
« Fait jouir une femme » rétorqua telle
« Oui .. » répondit Sandra gênée
Debout face à elle, Natacha posa son escarpin sur la table pour lui présenter son pubis épilé, elle saisit la main de la rousse pour glisser son index en elle.
« Regarde comment tu me fais mouiller, j'aime les filles comme toi qui osent, allez ouvre moi d'avantage »
Prise au piège, la rousse commençait à glisser deux doigts dans ce sexe chaud et humide, elle les glissait délicatement, peur de la meurtrir avec ses longs ongles vernis noir. Natacha l'observait, elle lui prit le poignet pour le caler contre son sexe.
« Voilà comme ça j'aime, branle moi, ouvre moi petite garce »
Après trois doigts à coulisser dans ce sexe désormais trempé, Sandra en avait désormais quatre qui pistonnaient cette chatte qui dégoulinait.
« Bouffe-moi maintenant le clito » indiqua la blonde en haussant le ton, elle prit la nuque de Sandra pour lui plaquer la bouche entre les cuisses.
Sandra léchait et mordillait ce clitoris tendu de plaisir, et comme par vengeance, se défoulait de la langue et des dents, elle aussi mouillait comme une folle. Elle aimait cette situation étrange, elle martelait de ces quatre doigts ce sexe qui coulait tout en jouant du clito qu'elle sentait de plus en plus gonflé de plaisir.
La blonde se crispa d'un coup et hurla sa jouissance dans la salle réunion pour laisser jaillir un jet de cyprine dans la bouche de sa complice.
« Mais tu es une vrai tigresse toi ! » elle l'embrassa à pleine bouche pour partager le liquide brulant de plaisir.
L'horloge au mur indiqua alors 11h05
Sandra était installée derrière son bureau, les yeux dans le vide à contempler le portable en veille, elle ne comprenait pas comment en l'espace d'une matinée elle avait pu aller aussi loin, elle qui fantasmait énormément à travers ses lectures sur le net, aujourd'hui ses fantasmes devenaient réels. Son Maitre virtuel lui avait demandé de lui obéir durant ces vingt quatre heures et, à l'issue d'une complète dévotion, elle aurait enfin la chance de le rencontrer réellement.
Elle commençait à douter, la journée ne faisait que commencer et lui réservait encore de nombreuses épreuves, tout ce qui venait de se passer correspondait à ses attentes sauf que la concentration d'événements était trop intense et déstabilisante.
« Toc, Toc » la porte s'ouvrit et la grande blonde entra dans le bureau
« Voilà, je me suis refait une beauté, il me fallait être présentable après ce que tu viens de me faire » lui dit la grande blonde perchée sur ses talons hauts.
Elle l'a regardait, ce n'était pas physiquement le type de femme qu'elle préférait mais en la détaillant debout devant elle, sa plastique et son tempérament ne la laissait pas indifférente.
« As tu aimé me voir jouir sous ta bouche ? » lui demanda Natacha
Elle ne baissa pas la tête mais la fixa, fière de ce qu'elle avait accompli : « Pour une première expérience féminine, j'avoue de ne pas avoir été déçue, un peu rapide et directif mais j'ai aimé gouter cette liqueur que je ne connaissais pas » lui répondit Sandra.
« Mais tu n'as pas ouvert ton colis ? » lui demanda la blonde
Le carton emballé dans du papier noir mat trônait sur le bureau, Sandra l'avait déjà oublié, tout avait été aussi vite.
« Allez ouvre le, montre moi ce que l'étalon t'a livré »
« Est ce bien le moment ? De plus c'est quand même un colis personnel ! »
« Tu ne vas pas me jouer les timides avec ce qui vient de se passer, nous sommes intimes maintenant, je vais te l'ouvrir » rétorqua Natacha
Au point où elle en était arrivé, elle n'avait plus rien à perdre, sauf son travail si les derniers événements commençaient à se savoir. La grande blonde s'affairait à déballer le colis sous le regard inquiet de la rousse ...
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